La loi électorale continue à alimenter les débats. Les propositions du Député N’singi Pululu révoltent certains. Pour être Président de la République , il faut être congolais d’origine. C’est-à-dire né de père et de mère congolais. » A-t-il proposé comme amendement à la loi électorale en discussion à l’Assemblée Nationale. Néanmoins , certains pensent qu’il faut mettre des gardes fous à la fonction Président de la République. C’est le cas de Joseph Mudimbi. Il est professeur à l’Université de Lubumbashi, à la faculté des sciences politiques . Je pense qu’un peu partout dans le monde, la fonction du Président de la République est protégée . Dit le professeur Joseph Mudimbi réagissant sur les propositions du député Nsingi Pululu . Pour lui , même les nations très avancées en démocratie fixent des limites. » À titre illustratif, les États-Unis d’Amérique présentés aujourd’hui comme le modèle de la démocratie. Il est admis que tout américain ne peut prétendre devenir Président de la République. Ne peut être Président de la République que le citoyen américain de naissance. Tout américain par naturalisation ne peut même pas rêver un seul instant le devenir. La loi lui en interdit ». Explique encore le professeur. Une loi sur mesure ? Si les autres nations protègent cette fonction , la RDC peut aussi le faire. Mais , la difficulté , ce que certains pensent que c’est une loi sur mesure . En les amendements introduits sur les critères d’éligibilité du candidat Président de la République paraissent liberticides, parce qu’on cherche à individualiser l’affaire . On pensent qu’ils sont envisagés dans le seul but de casser l’élan de certaines personnes qui veulent briguer ce mandat. » Explique Joseph Mudimbi, alors que la loi, elle, est impersonnelle. Depuis quelques temps, les partisans de Moïse Katumbi ,candidat potentiel à la présidentielle de 2023 , pensent que ces amendements visent leur leader. En même temps, quelques structures de la Société civile sont vent debout contre ces propositions. Elles promettent de mener des actions pour stopper l,insertion de ces amendements dans la version définitive de la loi. Avis Facebook pour l’UE! Vous devez vous connecter pour afficher et publier des commentaires FB!
Billetde blog 16 mai 2012. Moi, Président de la République. Toi, Angela. La pluie, la grêle, la foudre même et tous les guerriers du Walhalla réunis n’auront pas réussi à empêcher
Lettreau “président de la République” Monsieur le “Président” : Il est indiscutable que vous avez mal gouverné à tous points de vue pour rêver de ce prix Écrit le 23 mars 2021 . Publié
Rêverde rencontrer le futur président de la République quelle signification . 105.3 FM Nice – Antibes – Cannes 100.5 FM Monaco – Menton 104.2 FM La Bollène-Vesubie 102.4 FM La
Vues 1 605 Il y a quelque chose d’absolument stupéfiant dans la trajectoire politique d’Emmanuel Macron ! Voilà un homme dont la principale gloire à la fin de son premier mandat est d’avoir fait tirer sur son peuple, d’avoir blessé et mutilé plus de manifestants que l’ensemble des présidents de la République qui l’ont précédé depuis 50 ans ! Eh bien, paradoxe, il se représente à la Présidence et est réélu ! Comment est-ce possible ? Évidemment, sa réélection résulte de la conjonction de multiples facteurs, mais les historiens reconnaîtront qu’elle fut rendue possible parce qu’il réussit durant son premier mandat à transformer, par touches successives, une démocratie en un régime autocratique, portant le système de propagande d’État à un niveau de perfection jamais atteint par ses prédécesseurs. Les Sarko et autre Hollande ne furent que des petits bricoleurs dans ce domaine. Avec lui, l’appareil de propagande fabrique l’opinion et le consensus. La technique appliquée reste néanmoins classique. Elle consiste à A Lobotomiser la population en répétant une information, toujours identique, formatée et contrôlée. Elle est reprise en boucle sur les chaînes publiques de radio et de télévision sans oublier les chaînes privées d’infos en continu qui, ensemble, constituent le grand ministère de la Vérité voir Orwell, 1984. Chacun de nous entend le même narratif à longueur de journée. Personne ne peut y échapper. Bien sûr, l’apprenti autocrate n’invente rien et ne fait là qu’appliquer des méthodes de lavage des esprits éprouvées depuis longtemps. Se rappeler par exemple que Josef Goebbels fameux ministre de la propagande disait déjà dans les années trente un mensonge répété 5 fois reste un mensonge, mais répété 100 devient vérité ». B Développer des comités de censure déguisés souvent en comités d’éthique ou associations citoyennes dont les membres ne sont que des larbins nommés. Là encore, l’apprenti autocrate n’invente rien. On retrouve les principes qui conduisirent à la création dès 1922 du GLAVLIT, le principal organe de censure de l’URSS. Le CSA est l’archétype du comité de censure d’État à la botte du régime, son bras armé, chargé d’asservir l’audiovisuel en définissant les temps de passage à l’antenne, en infligeant des amendes exorbitantes, en menaçant de retirer l’autorisation de diffusion à tout site qui serait tenté de se dresser contre l’autocrate. C Verrouiller internet en faisant voter, par un parlement non représentatif de la Nation parce qu’élu non démocratiquement des lois liberticides visant à bloquer toute contre-information. On oblige par exemple les sites sur internet à s’autocensurer et à retirer leurs articles et commentaires au bout d’une journée sous la menace d’amendes ou d’être privés du droit de diffusion. La brève liste ci-dessus ne mentionne que quelques-unes des méthodes mises en place dans le domaine de l’information pour restreindre les libertés fondamentales et asservir la population. Dans un texte aussi court, nous ne pouvons aborder le contrôle de l’appareil judiciaire, de l’enseignement, du système de santé, et la transformation progressive des forces de l’ordre au service du citoyen en forces de répression comme l’a montré la gestion de la crise des Gilets Jaunes. Au final, le point CAPITAL est que le régime préserve les apparences d’une démocratie puisque des élections sont organisées régulièrement … sauf que, chaque citoyen ne dispose plus que d’une trentaine de secondes pour se réveiller dans l’isoloir avant de choisir son bulletin de vote, alors qu’l a subi depuis des années le même narratif sans réelle contre information. C’est cela la démocrature la majorité du peuple, lobotomisée et devenue incapable d’aucun questionnement, veaute » correctement et reconduit l’oligarchie qui a confisqué le pouvoir. Auteur Jacques COLLET Source Place d’Armes Laresponsabilité du président de la République sous la V° République (dissertation) Un président responsable dans une démocratie irréprochable : voilà le rêve de chacun dans une Cinquième République dont on peine, bien souvent, à déterminer les contours tant les rapports entre les différents organes semblent, parfois, obscurs. Tribune libre Ce gouvernement technocratique n’a aucun idéal. Il dirige le pays comme un manager une entreprise, en faisant reposer la pérennité de celle-ci sur la rentabilité» Il y a quelques jours, le président de la République appelait les Français au sacrifice au nom de la liberté. Ce 24 août, le chef de l’Etat est allé plus loin, annonçant la fin d’une insouciance, d’une époque, de l’abondance. En résumé, la fin de l’espoir pour les générations futures. Par ces propos martiaux, le chef de l’Etat cherche surtout à préparer les esprits à l’échec cuisant de sa politique libérale, antisociale et menée avec violence à l’égard des cette injonction à oublier le monde d’avant pour un monde d’après, fait de sacrifices et de désespoir, Emmanuel Macron révèle l’anéantissement de la pensée politique au profit d’une pensée froide analytique qui, si elle est apte à compter, est inapte à proposer un idéal et des solutions. Derrière cette posture, qu’il souhaiterait être celle d’un homme d’Etat, n’hésitant pas à utiliser le pays au service de sa gloire et de sa postérité, demeure un comportement dangereux pour la nation et l’esprit même des Français. La nation, disait Renan, ce sont des êtres différents conduits vers un même idéal. Dans la France macroniste, l’idéal n’a plus de en mars 2020, le chef de l’Etat, face à une épidémie qu’il avait appelé une guerre, avait exhorté les Français à la peur. Aujourd’hui, il les enjoint de nouveau à craindre l’avenir. Jamais, durant ces deux années, Emmanuel Macron n’a appelé au courage des Français, comme le firent ceux dont il semble rêver le destin Winston Churchill, le général de Gaulle… Pourquoi ?Sujétion. Parce qu’à la différence des grands hommes qui conduisirent la France plongée dans de grands tourments, ce gouvernement technocratique n’a aucun idéal. Il dirige le pays comme un manager une entreprise, en faisant reposer la pérennité de celle-ci sur la rentabilité. Sans jamais se soucier du long terme, sans jamais se poser la question de la condition y a quelques jours, Olivier Dussopt, ministre du Travail, enterrait la sociale démocratie, appelant au progressisme, soit la sujétion de l’homme aux ambitions économiques du pays. Aujourd’hui, le chef de l’Etat appelle à enterrer la France, à oublier le modèle démocratique au profit du pragmatisme, l’idéal humaniste au profit de la gestion comptable du pays. Devant l’échec de sa politique sur un plan diplomatique, économique, social, Emmanuel Macron accusait hier l’Europe. Aujourd’hui, il accuse le climat mondial » Ces propos sont-ils audibles de la part d’un président de la République garant des institutions et, de fait, d’un modèle républicain construit depuis des décennies par la volonté des propos sont-ils dignes de la part d’un homme qui se voudrait d’Etat ou d’un homme qui se rêve politique ? Quel est le but de tous ces discours belliqueux à l’égard des pays étrangers, des affronts aux dirigeants d’Afrique ? Quel avenir offrir à la France dans un monde où notre modèle démocratique subit depuis cinq ans les attaques incessantes de ceux censés le défendre ?Excuses. Les Français ne veulent pas s’isoler sur la scène internationale. Les Français ne veulent pas de cette guerre à laquelle le président de la République semble rêver le matin en se rasant, allant jusqu’à supprimer, en plein chaos international, le corps diplomatique, une fierté nationale, qui est la seule clef viable d’une négociation entre Français ne veulent pas d’un pays administré le plus souvent contre leurs intérêts, mais rêvent d’une nation l’échec de sa politique sur un plan diplomatique, économique, social, Emmanuel Macron accusait hier l’Europe. Aujourd’hui, il accuse le climat mondial. Au final, derrière toutes ces excuses ne demeure qu’une seule réalité après avoir entaché la souveraineté de la France, le président de la République enterre un modèle qui fut la lumière de l’Europe durant des siècles, reléguant les discours francophiles à des postures Emmanuel Macron tente de nous faire croire qu’aimer la France, c’est être déconnecté des enjeux du monde parce que dans ce monde globalisé, lui et son gouvernement ont été incapables de défendre le modèle français. Aimer la France, ce n’est pas haïr l’autre. Aimer la France, c’est la rêver prestigieuse dans la grande marche du monde et certainement pas demander à son peuple de la sacrifier au profit d’un nouvel ordre mondial qui serait Houpert est sénateur LR de la Côte-d’Or, membre de la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées. Leplus drôle, dans cette affaire, est l'étrange histoire de ce régime de faveur des présidents honoraires. Les anciens Présidents de la République encore vivants (et leurs veuvesAliou Sow rêve d’être le cinquième président du Sénégal… Alioune Sow a de folles ambitions depuis la fin du régime de Wade. Selon le magazine Exclusif repris par Leral, l’ancien jeune loup du Parti démocratique sénégalais rêve d’être président de la République. Mon programme est de prendre le pouvoir dès 2022 quand théoriquement le règne de Macky Sall va finir. Mais pourquoi pas dès 2017 », souligne inlassablement Sow à ses différents visiteurs. Sur le nouveau président qui a été son compagnon de lutte pendant quelques mois, avant qu’il ne la quitte, il est très prudent. affaire_de_malade NewsLetters de Seneweb Le meilleur de sélectionné par la rédaction
Avecle Snes-FSU, lutter contre la précarité du statut Une rémunération à hauteur du travail réalisé => le Snes-FSU est la seule organisation syndicale à s’être battue pour que l’académie de Lille paie correctement les AESH, selon les préconisations ministérielles, et pour que la règle de l’arrondi au supérieur de la quotité de travail soit respectée. Sortir de la
Last updated Août 23, 2022 Nommé le samedi 20 août 2022 par le Président de la Transition, le Colonel Mamadi Doumbouya, Aly Seydouba Soumah est le nouveau ministre de l’Énergie et des Hydrocarbures. Agé de 48 ans, le tout nouveau chef du département en charge de l’Énergie et des Hydrocarbures est un technicien chevronné, un fiscaliste et un analyste financier, dont les compétences se sont accrues au fil des années de formations, de voyages, de contacts et de travaux effectués. Après de brillantes études primaires, le jeune Aly Seydouba Soumah décroche ses Baccalauréats première et deuxième parties en 1992 et 1993 à Conakry, au Lycée Donka, dans la Commune de Dixinn. De là, il obtient son Diplôme d’Études Universitaires Générales en Économie avant de décrocher la Licence, le Diplôme d’Études Supérieures en Comptabilité et Gestion à l’Université Gamal Abdel Nasser de Conakry entre 1995 et 1999. Ce cadre diplômé, pétri de talents et intellectuellement dense rafle, au Centre National de Formation et de Perfectionnement Professionnel, à Conakry, une autre distinction en 2002. Cette fois-ci au compte du cycle de formation initiale des lauréats de 2000 sur les Finances Publiques et la Rédaction administrative. Le précieux sésame détenu, le jeune gestionnaire comptable commence à rêver grand. Ainsi, il part à la conquête de l’expertise à l’Institut Supérieur de Management ISM de Dakar, au Sénégal où il décroche d’abord avec brio un Master 2, en 2016, en Expertise et Conseil Fiscal, avec pour thème de mémoire l’élargissement de la stratégie fiscale au secteur informel en République de Guinée ». Ensuite, en 2017, Aly Seydouba Soumah, dans le sillage de l’élargissement de l’horizon de ses connaissances, profite de son séjour dakarois pour empocher un autre Master 2 en Ingénierie Financière sur le thème Système Fiscal guinéen-Diagnostic et défis pour un développement durable. De Dakar, direction le Canada où il décroche un MBA dans la filière Maîtrise en Gestion des Organisations » en 2018. La fiscalité, la comptabilité et les finances n’ayant plus de secret pour lui, il parcourt d’autres pays comme le Maroc, le Bénin, le Burkina Faso, le Ghana, l’Italie, dans le cadre des rencontres d’échanges et de partage d’expériences. Auditeur de 1999 à 2001 au Cabinet d’Expertise Comptable et Commissariat aux Comptes Tafsir Audit et Conseils , il officie comme Auditeur Interne du 1er février au 31 août 2001 pour le Programme Intégré pour le Développement des Entreprises PRIDE-Finances . Occupant le poste de Chef de Section Comptabilité et Finances du 1er septembre 2001 au 28 février 2004, au compte du Projet d’Appui au Développement rural en Basse Guinée, il est nommé Chef de Brigade, Section Prestation de Services de 2016 à 2021. À ce poste, il se charge de la vérification générale de la Comptabilité des grandes entreprises comme Anglogold Ashanti de Guinée SAG, la Société Navale de Guinée, Ecobank, la CBG, UGAR, Port Autonome de Conakry, Mouna Group Technology, Bolloré Africa Logistic. Depuis 2021, Aly Seydouba Soumah est chef de Section Commerce-Vérification de la Comptabilité à la Direction Nationale des Impôts. Poste qu’il occupe jusqu’à sa nomination au poste de ministre de l’Énergie, de l’Hydraulique et des Hydrocarbures. Une consécration pour ce cadre rompu à la tâche, un sens élevé du casting pour le président de la transition, le Colonel Mamadi Doumbouya qui veut ainsi bâtir une équipe de choc autour du tout nouveau Premier ministre, dans le dessein manifeste de faire de la refondation de l’État, une réalité en Guinée. DCI PRG Ceciétant posé, il faut bien revenir sur les annonces du président de la République et commencer là aussi par lever un malentendu important volontairement entretenu par Emmanuel Macron : la vaccination sera bien obligatoire pour l'ensemble des Français, et pas seulement pour les soignants comme cela est indûment annoncé. Comment appeler ça autrement quand pour SIGNIFICATION Rêver de la femme du président indique que peut-être êtes-vous en train de faire la transition vers une nouvelle carrière, un nouveau foyer ou un nouveau parcours de vie. Vous recherchez une sorte de lien. Vous êtes empêché de vous exprimer sur un aspect de votre vie. Vous voulez explorer de nouvelles aventures et prendre des risques plus importants. Vous appréciez les choses mineures et douces de la vie. BIENTÔT Rêver de la femme du président indique que vous êtes très fier et n’aimez pas du tout reconnaître vos limites ou vos échecs. Il est temps de réfléchir et de rechercher une plus grande stabilité. Vous aimez tout savoir et voulez toujours apprendre de nouvelles choses. Chacun a ses propres critères et agit en conséquence. L’important est que vous soyez à l’aise avec vous-même. AVENIR Rêver de la femme du président indique que tout ce que vous investissez en vous ne sera pas perdu et vous servira tôt ou tard. Vous rassemblerez les forces nécessaires pour reprendre le contrôle de votre propre vie. Vous pouvez vous permettre d’avoir quelques détails, alors invitez-les à un dîner. Vous pouvez être d’une grande aide et vous serez très heureux de le faire. Une personne de l’étranger entrera dans votre cœur et y restera longtemps. CONSEIL Croyez en vous pour avoir la confiance nécessaire pour prendre les bonnes mesures. Il suffit de regarder autour de soi et d’essayer de s’ouvrir un peu plus. AVERTISSEMENT Ne pas laisser le présent s’échapper à cause d’un passé qui ne peut plus être comme il était. Ne pensez pas que c’est un labyrinthe dont vous ne pouvez pas sortir. Aujourdhui, notre vote oblige en premier lieu le président de la République réélu, ainsi que toutes celles et tous ceux qui militent pour construire une France plus grande. Arrêtez de nous considérer comme des citoyens condamnés aux marges de la société. Chems-eddine Hafiz est recteur de la Grande Mosquée de Paris. Le Monde Réservé aux abonnés Publié le 26/05/2021 à 2003, Mis à jour le 26/05/2021 à 2003 Éric Zemmour. Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro CHRONIQUE - Les ambitions politiques de notre plus grand poète national racontées avec finesse par Bruno Fuligni. Et un recueil de ses meilleurs discours à faire pâlir nos orateurs d’aujourd’hui. Dans son beau livre, La Promesse de l’aube, Romain Gary raconte que sa mère, une Russe rêvant de la France, disait sans cesse à son fils adoré Il faut aller vivre en France, le pays où Victor Hugo est président de la République.»Madame Gary mère se trompait mais avait tout deviné. Pendant trente ans, Victor Hugo rêva de l’Élysée.» Ainsi s’ouvre l’ouvrage de Bruno Fuligni. Le texte est bref, mais dense, avec un style nerveux, émaillé de formules brillantes. Notre historien aborde un pan de l’existence du grand poète négligé par ses biographes son ambition politique. On sait qu’Hugo fut toujours passionné de politique et qu’il fut pair du royaume sous Louis-Philippe. On ignore cependant qu’il fut deux fois candidat à l’élection présidentielle ; mais en 1848, il se désiste en faveur de Louis Napoléon Bonaparte ; et en 1852, la présidentielle n’aura pas lieu Napoléon III avait, un an plus tôt, réglé la question de sa réélection interdite par un coup d’État lire aussiJean-François Kahn Victor Hugo ne se reconnaîtrait pas dans l’Europe d’aujourd’hui»Lorsque la direction… Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 85% à liberté c’est aussi d’aller à la fin d’un à lire votre article pour 0,99€ le premier mois Déjà abonné ? Connectez-vous Leporte-parole du maire de Bordeaux ajoute cependant que le principe d'identité heureuse, cher à Alain Juppé, doit se traduire par "une campagne heureuse, un objectif positif et arrêter de Les adversaires de l’équipe nationale de football du Sénégal sont avertis ! Après que nous ayons pu assister à un match retour épique contre les Pharaons, avec des footballeurs sénégalais requinqués et gonflés à bloc, l’ambition ne manque pas pour le voyage en terres qatariotes. Lors de son ralliement à la coalition majoritaire Benno Bokk Yakaar Bby, le premier vice-président de la Fédération sénégalaise de football FSF nous a dévoilé l’ambition de son Excellence Macky Sall pour le Mondial-Qatar 2022. Aussi imprévisible que crucial parfois -allez demander aux algériens-, le football draine les passions les plus folles, amène les derbys les plus disputés et offre la communion des grandes victoires. Sans doute le sacre des Lions du football au Cameroun et leur qualification pour la Coupe du Monde 2022 contre l’adversaire aux 7 étoiles sur la tunique permettent au premier des sénégalais de rêver grand! A en croire Mouhamed Djibril Wade, les objectifs du Chef de l’Etat Macky Sall pour le Mondial-Qatar 2022 sont fixés au moins à un accès en demi-finales. Proche des arcanes du pouvoir, le vice-président de la Fédération sénégalaise de football révèle que le Président Macky Sall, après la qualification à la Coupe du monde de football 2022, a exprimé le souhait de voir la bande à Sadio Mané atteindre les demi-finales. Ce qui, du reste, est un objectif envisageable, selon le nouvel allié de la mouvance présidentielle. Nous remercions le Président Macky Sall de nous avoir permis d’entrer en possession de ce terrain. C’est son record à lui. La prochaine étape pour nous, c’est d’atteindre la demi-finale de la Coupe du monde qatarie. Et après cet objectif atteint, il projettera de la remporter », confie-t-il. Galvanisé par des militants venus assister à son ralliement, le président de Ngb Niary Tally rappelle Je n’étais pas dans le même camp qu’Abdoulaye Saydou Sow et Augustin Senghor Président Fsf, Ndlr. Mais quand il s’agit de mener la campagne Manko Wuti Ndamli, nous nous sommes investis tous autour de l’essentiel pour accompagner le président qui a capitalisé une expérience à la tête de la fédération et le sélectionneur Aliou Cissé, qui a, lui aussi, capitalisé une expérience sans commune mesure. C’est pourquoi nous avons constitué un bloc autour d’Augustin Senghor et d’Aliou Cissé. Nous en avons entendu de toutes les couleurs. Certains se préparaient pour nous guillotiner. C’est grâce à cette union que nous avons pu gagner la Can ».La première organisation politico-militaire tchadienne est le Front de Libération Nationale du Tchad, crée en 1966 sur l’initiative du feu Ibrahim Abatcha. En 1968, suite aux dissensions intervenues au sein du FROLINAT, d’autres groupes armés ont vu le jour. Plus tard, après la guerre civile des années 1979-1980, d’autres mouvements politico-militaires sont apparus, lors des rencontres de réconciliation nationale tenues au Nigeria. Ainsi Ä Lagos, les leaders de ces organisations ont manifesté leur désir de se regrouper au sein d’un Gouvernement d’Union Nationale de Transition/GUNT, placé sous la direction du président Goukouni Weddeye. Mais dans la gestion pratique du pouvoir politique, ces leaders et chefs de tendance politico-militaires n’ont malheureusement pas démontré leur capacité de travailler ensemble pour sauver le pays et épargner les populations tchadiennes des conflits armés. Aujourd’hui, soit plus de vingt-cinq ans après, quelle est la situation des organisations politico-militaires tchadiennes ? En fait, combien sont-elles réellement ? Quelle stratégie adoptent-elles face au pouvoir de NDjaména ? Quelle alternative proposent-elles au peuple tchadien? Leurs leaders ont-ils encore la volonté et la capacité de prendre le pouvoir? Seront-ils en mesure de gouverner un jour le pays, sans tomber dans les travers de leurs intérêts personnels ? Bref, pourrons-t-ils sauver le Tchad ? La prise de pouvoir par les armes est-elle encore possible ou du moins acceptée dans le contexte international actuel ? La Constitution tchadienne issue de la Conférence Nationale Souveraine et adoptée par référendum, interdit toute prise de pouvoir par les armes et suggère la désobéissance pacifique des tchadiens, au cas où cela se produirait. Alors, quelle autre alternative serait-t-elle possible ? Ces Organisations politico-militaires pourront-elles s’engager à participer aux prochaines élections présidentielles et législatives ? Mais avant cela, peuvent-elles adopter ensemble et proposer une plateforme réaliste de négociation politique sérieuse avec le gouvernement tchadien ? Auront-elles le temps nécessaire de le faire ou le voudront-elles ? Le régime actuel de NDjaména accepterait-il de telle initiative ou démarche ? L’intérêt supérieur la nation tchadienne ne mérite-t-il pas que les protagonistes et adversaires tchadiens ne trouvent enfin une issue politique consensuelle ? Cela éviterait ă nos populations d’interminables conflits qui deviennent un réel obstacle du développement économique et social du pays. Certes, il n’est pas question de procéder ici ă une classification rétrospective de ces organisations, moins encore de développer l’historique de leurs activités. Et comme, nous n’avons pas de préférence particulière pour tel Mouvement ou Organisation par rapport ă tel autre, cela nous permet d’aborder cette réflexion sans préjugé, ni jugement de valeur et de présenter notre opinion de manière simple sur cette question assez sensible et délicate. Peut-on savoir, si les organisations politico-militaires tchadiennes existent encore ? Depuis un certain temps, il n’y a pas d’échos majeurs de leurs activités militaires sur le terrain. Auparavant, il y avait quelques tentatives de regroupement et de réunion par-ci et par-lă. En fait, depuis la création du Frolinat aujourd’hui placé sous la direction du président Goukouni Weddeye, jusquâ€™Ä nos jours, il y avait plusieurs mouvements ou groupes politico-militaires. Certains sont anciens et d’autres de création récente. Compte tenu de la confusion même de leur Statut et surtout de leurs activités, il n’est pas facile de les identifier tous. Mais on peut citer quelques-uns uns comme, le CDR d’Acheikh Ibn Oumar, le MDD de Brahim Malllah, le MDJT du feu Youssouf Togoïmi, le CSNPD du feu Ketté Moise, le FDP du Dr. Nahor Mahmoud, les FARF du feu Laokein Bardé, le FNTR de Mahamat Moussa, le FPRN de Alio Abdoulaye, le RAFAT de Adoum Moussa Seif, le MUR de Gaillet Bourkoumandah ou encore la CDDC de Hassaballah Soubiane, énumération relative n’est pas exhaustive. Qu’elles soient divergentes ou semblables, certaines avaient réussi à constituer des alliances pour mener ensemble des actions communes. Ainsi les conclaves de leurs réunions avaient abouti Ä des regroupements tels, le Front Uni pour le Développement et le Progrès/FUDP ou encore l’Union des Forces pour le Changement/UFC. Mais les activités réellement connues de ces regroupements se limitent généralement Ä des publications communes des Communiqués de presse. Ainsi, les leaders de ces organisations, résident à l’extérieur et circulent un peu partout en Afrique, en Europe, aux États-Unis et au Canada. Certains sont mêmes poursuivis en justice, mais ils prennent le chemin de l’exil sous le couvert de l’opposition politique. Quelques rares parmi eux, semblent déterminés et engagés ă apporter un réel changement du système politique tchadien. Alors que les autres, en nombre de plus en plus croissant et souvent de moralité douteuse, se distinguent surtout par leur opportunisme de politique politicienne et sèment parfois, la confusion au sein de l’Opposition politico-militaire. Néanmoins, tous ces Groupes, Mouvements ou Organisations politico-militaires suivent activement l’évolution politique du Tchad et tentent d’influencer le cours de son histoire politique contemporaine. S’agissant de leurs activités opérationnelles, on peut noter - Certains comme le MDJT, semblent avoir des combattants armés sur le terrain et continuent de temps ă autre ă mener des offensives militaires sporadiques contre les forces gouvernementales, dans les régions Nord du pays. Mais depuis le décès de leur chef, feu Youssouf Togoïmi et avec le départ de certains de leurs dirigeants, leurs actions militaires restent limitées. Aussi, la composition tribale de leur organisation, et l’éloignement de leur zone d’opérations par rapport Ä la capitale tchadienne où s’exerce la réalité du pouvoir politique, constituent un de leurs grands handicapes. - D’autres comme le du feu Bâchar transformé en FNTR, faute de combattants sur le terrain ou encore par simple choix volontaire inspiré de la“real politicâ€, ont abandonné la lutte armée et la prise de pouvoir par les armes. Leurs dirigeants ont décidé de continuer la lutte politique de manière pacifique, tout en utilisant des méthodes modernes de communication avec leur site web, Al Wihdah. Le Web Site est certes un outil important, mais faut-il encore présenter des informations objectives pour être crédible devant l’opinion publique nationale et internationale. S’il faut s’en servir seulement comme un moyen de propagande politicienne et de désinformation, cela n’améliorerait pas la situation des peuples du Tchad. - D’autres organisations, regroupant quelques membres de la diaspora tchadienne, se sont transformées en partis politiques en exil. Celles-ci pourraient avoir peut-être quelques sympathisants à l’intérieur du pays, mais n’ont pas d’implantation des cellules locales, ni de réelles activités sur le terrain. En effet, leur activisme n’a pas grand impact sur les populations tchadiennes. - Aussi, il y a d’autres organisations qui sont restées hybrides, c’est-à -dire se considérant parfois comme de groupes ou mouvements politico-militaires et parfois comme des partis politiques, du fait qu’elles n’ont pas assez ou pas du tout des troupes sur le terrain, ni suffisamment des militants de base sur le territoire national. En effet, leur activisme n’a pas d’effet sur la grande masse des populations tchadiennes souvent indifférentes. - Parmi ces dernières, en cas de difficulté d’existence, certaines essaient d’impressionner le régime en place au Tchad, pour avoir une porte de sortie honorable et composer avec le pouvoir de NDjaména. D’autres par contre, malgré la dissidence de certains de leurs membres, persistent et continuent ă résister pour aboutir un jour ă un changement radical ou du moins profond de l’actuel régime politique du Tchad. Certes, il n’est pas interdit de rêver en politique... -Il y a également quelques mouvements ou organisations dont les dirigeants ne trouvent leur salut qu’en résidant de manière permanente à l’étranger pour le besoin de leur cause, souvent inavouée ou exprimée de manière confuse et contradictoire. Ces Âéternels opposants» se considérant eux-mêmes comme Âdes purs et durs», font de l’opposition politico-militaire, un outil de marchandage pour ne pas dire Âmendicité» auprès de certains officiels, ministres, ou chefs d’Etat des pays amis du Tchad. - Enfin, il y’a des mouvements qui n’existent que de nom et dont les dirigeants en quête d’audience politique, tentent d’impressionner l’opinion nationale et internationale par la publication des communiqués et décisions de nomination de leurs représentants, dont ils ne les connaissent que superficiellement et n’ont aucun contrôle. Ils préparent avec tapage des réunions dites de  concertation générale en vue d’adopter une plate-forme commune de l’ensemble de l’opposition tchadienne », mais n’aboutissent ă rien de sérieux et crédible. Pire encore, faute d’argumentations politiques convaincantes ou par incapacité de présenter une analyse profonde et claire de la situation du pays, ils se démarquent souvent par des diatribes stériles, contre le président Idriss Déby. Ces nouveaux politiciens, qualifiés par certains tchadiens  d’arrivistes », en tentant de se hisser au plus vite possible par rapport aux autres opposants tchadiens, s’en prennent parfois maladroitement ă d’autres leaders de l’opposition politique opérant ă l’intérieur du pays de manière pacifique, ou même contre tel autre chef politico-militaire qui semble leur porter ombrage. Face ă de telle situation que pourrait-on encore espérer des mouvements et organisations politico-militaires ? Depuis combien de temps les populations civiles tchadiennes ont fait recours ă la lutte armée ? Pourquoi certains ont-ils opté pour la prise de pouvoir par les armes ? Les victoires militaires n’ont jamais apporté de solution définitive aux conflits du Tchad, moins encore de paix réelle aux populations tchadiennes. Et malgré les multiples interventions des forces étrangères françaises et libyennes aux côtés des forces gouvernementales tchadiennes, cela n’a pas éradiqué la rébellion armée, moins encore rétablir la paix définitive et la sécurité dans le pays. Combien de perte de vies humaines notre pays a-t-il connues? Les leaders et dirigeants politiques actuels, de l’Opposition ou du Pouvoir en place ă Ndjaména, ont-ils évalué les conséquences des affrontements armés dans notre pays ? Les responsables politiques de tous les régimes qui se sont succédés depuis l’accession de notre pays ă l’indépendance, ont-ils tiré les leçons de leur expérience politique passée ? Ont-ils vraiment expliqué ă l’élite politique actuelle, la nécessité de bâtir un Etat viable basé sur le respect des libertés et droits fondamentaux des tchadiens? Pour régler aujourd’hui nos différends politiques qui sont certes surmontables, n’est-il pas enfin temps d’amorcer l’approche de négociation pacifique sérieuse et non de simple ralliement nous conduisant de facto au parti unique, méthode politique anachronique déjă révolue des périodes des anciennes dictatures africaines.  Les premières émeutes populaires des années 1963 ă Fort-Lamy actuelle NDjaména ne découlent-elles pas de l’interdiction du multipartisme par le feu président François/NGarta Tombalbaye et de l’instauration du parti unique, le PPT-RDA? La création de la première organisation politico-militaire, le Frolinat en 1966, n’est-elle pas une réaction contre les exactions des forces gouvernementales sur les populations civiles ? Le retard actuel de notre pays par rapport aux Etats de la sous région dans le continent, serait-il pas en partie dÅ Ä nos interminables conflits politiques et affrontements armés? La lutte armée serait-elle plus efficace que la confrontation pacifique de politique partisanne ? En conformité avec le contexte international de l’époque, et suite au renversement du régime dictatorial du président Hissein Habré, le multipartisme a été solennellement réintroduit au Tchad depuis 1990 par le président Idriss Déby. Aucun tchadien ne s’est opposé ă sa restauration, même les mouvements politico-militaires. Alors, pourquoi ne pas participer ă sa consolidation afin de bâtir des institutions étatiques crédibles dans notre pays ? La volonté politique des leaders et gouvernants au pouvoir semblait parfois faire défaut. En effet, cette volonté politique devrait accompagner les déclarations et décisions publiques. Mais faut-il encore que nos cadres et élites intellectuels chargés de son exécution l’appliquent de manière sérieuse et sans complaisance. Cela devrait se faire dans la gestion quotidienne des affaires publiques et surtout dans l’organisation, le déroulement et le suivi des opérations électorales aux niveaux locales, et nationales. Ainsi de là , résulterons des institutions fiables qui nous éviterait les multiples recours à la lutte armée, mais ne génerait pas les contestations politiques intempestives qui sont parfois nécessaires à l’évolution de la dialectique démocratique. Le drame du peuple tchadien est que la plus part des dirigeants politico-militaires, certains de nos leaders politiques et beaucoup même de nos cadres et intellectuels, n’ont d’autres objectifs que de préserver leurs intérêts personnels. La défense de leur région vient souvent avant les préoccupations nationales et d’intérêt général. La situation des organisations politico-militaires est complexe, mais elle ne doit pas faire obstruction à l’évolution du développement économique et social du pays. Les mouvements politico-militaires doivent comprendre l’évidence que la prise de pouvoir par les armes est aujourd’hui révolue. S’ils transforment leurs organisations en partis politiques de l’Opposition, cela serait salutaire pour les Tchadiens. Mais faut-il encore être en mesure de dégager de réelle stratégie de lutte pour la prise de pouvoir de manière légale et pacifique. Certains vont évoquer sûrement les problèmes de fraudes électorales, mais le vrai enjeu dans toute élection, peut se résumer en deux points importants -D’abord, la crédibilité des candidats eux-mêmes, c’est ce qui fait réellement défaut chez nos politico-militaires, car ils se sont presque tous discrédités devant l’opinion publique nationale et n’arrivent plus Ä convaincre les populations tchadiennes du bien fondé de leurs actions militaires ou politiques. - Avoir la capacité de mettre en place des structures politiques Ä dimension nationale, qui peuvent couvrir et suivre l’organisation et le déroulement des opérations électorales sur l’ensemble du pays. Là -aussi, vu les stratégies et calculs régionalistes ou tribaux de nos leaders politico-militaires, leurs succès au niveau national semblerait hypothétiques, pour ne pas dire, serait aussi un fiasco comme dans leurs activités militaires. La lutte politico-militaire est certes difficile et longue dans un pays comme le Tchad. Mais, la confrontation de politique partisane n’est pas aussi simple, ni donné Ä tout le monde, moins encore aux aventuristes. Après une profonde observation des acteurs et leaders politico-militaires, des enjeux qui les motivent et surtout des stratégies mises en place, il serait utile de rappeler à ces frères, qu’il est temps de cesser de perdre le temps et d’entamer courageusement une nouvelle phase réaliste de la vie politique tchadienne. Cela épargnerait á notre pays surtout la perte d’autres vies humaines. Mais aussi, c’est par un réel changement de méthode de gouvernance que le pourvoir de N’Djaména pourrait convaincre nos frères politico-militaires à participer au dialogue ouvert et Ä la reconstruction du pays afin d’assurer l’épanouissement des populations tchadiennes. Ainsi, nous espérons que cette réflexion sur les politico-militaires pourrait nous amener tous à réfléchir d’avantage et d’œuvrer ensemble pour bâtir enfin un Etat uni et crédible où toutes les sensibilités politiques pourrons s’exprimer dans le respect des droits et libertés fondamentales, en vue d’une alternance démocratique pacifique. Dr. Hassane Mayo-Abakaka
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